un petit tour et puis s’en va. Notre gargamelle de la politique Nicolas Sarkozy, s’est rendu à Alger afin De parler d’immigration. A cette occasion, il répète qu’il vient en ami. De qui je vous le demande, lui qui ne cesse de mettre en cause les relations avec les pays du Maghreb et de faire un lien entre les islamistes radicaux et ces mêmes maghrébins. N’a t-il pas récemment déclaré que le film Indigènes ne ferait que quelques entrées et qu'il avait été réalisé que pour quelques mondains. Mais est on surpris par de telles déclarations ? Lui qui essaie de ratisser large, y comprit à se courber devant l’électorat frontiste, allant contre ses principes republicains, mais a t-il encore des principes? ne vient il pas de mettre en cause à nouveau la justice, obligeant le Garde des Sceaux à réagir et soutenir les magistras. Quelle cacophonie, cette fin de règne chiraquienne, ou même le président ne sait comment enrayer cet énergumène qui s’agite dans tous les sens, mais ne propose rien. Il sera temps au moment de l’élection présidentielle, de renvoyer cet ogre qui discrédite la politique et nos institutions, remettant en cause même notre laïcité garante de la cohésion nationale et si je peux rajouter, l’expulser en Amérique voir son maître Bush qui n’hésitera pas à en faire un évangéliste comme lui et sillonnée le midwest à la recherche de quelques basanés.
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